Après le succès de la première édition, le Khoros Film Festival entend apporter encore plus de créativité et de récits au public lors de sa deuxième édition, du 28 au 30 novembre 2024 à l’Alliance.
Les projections s’étendront sur les trois jours du festival. Il s’agira d’un mélange de courts métrages africains et internationaux. Dans le cadre des activités de jour, nous proposerons une mini projection pour les enfants. Restez à l’écoute pour connaître le programme complet !
Les principaux objectifs du festival sont de présenter les courts métrages de réalisateurs talentueux de Gambie, de France et du reste de l’Afrique, d’offrir une plateforme aux cinéastes gambiens et régionaux pour présenter leurs courts métrages et d’organiser des ateliers sur les compétences clés nécessaires à la création de contenu.
Le festival vise également à offrir aux cinéastes gambiens, par l’intermédiaire d’un partenaire de formation local (Khoros Film Festival), la possibilité de produire leurs courts métrages et de les soumettre au festival et à d’autres festivals régionaux tels que Dakar Court et le Fespaco. Cette année, le festival organisera également une résidence interculturelle avec trois artistes cinématographiques de trois pays différents (la Gambie, le Sénégal et la France).
La deuxième édition du Khoros Film Festivals est organisée par l’équipe du Khoros Film Festivals en partenariat avec l’Alliance Française de Banjul, et avec le soutien de l’Institut Français de Paris et de l’Ambassade de France.
Ci-dessous des photos de la première édition. 👇
Immergez-vous dans le Khorus Film Festival 2024 : le programme et les descriptions des courts métrages vous attendent ci-dessous.
La deuxième édition du Khoros Film Festival, qui s’est tenue du 28 au 30 novembre 2024 à l’Alliance Française de Banjul, a confirmé sa position comme un événement cinématographique incontournable. En réunissant des courts métrages de Gambie, de France et d’autres pays africains, le festival a créé un espace unique de dialogue artistique et culturel, transcendant les frontières géographiques. La programmation diversifiée, allant des documentaires socialement engagés aux fictions expérimentales, a mis en lumière la richesse et la créativité du cinéma africain contemporain.
La résidence interculturelle, rassemblant des artistes de trois pays différents, a particulièrement illustré l’ambition du festival : non seulement présenter des courts-métrages, mais aussi créer des ponts entre les cultures, encourager les échanges et promouvoir de nouveaux talents. En offrant une plateforme de visibilité internationale et en proposant des ateliers de formation, le Khoros Film Festival s’est affirmé comme bien plus qu’un simple événement cinématographique – c’est un véritable mouvement culturel qui redéfinit la perception du cinéma gambien sur la scène internationale.
Fruit d’une résidence artistique d’un mois, ce documentaire puissant plonge le spectateur dans l’univers des agricultrices des jardins de Bakau. Il met en lumière leurs luttes quotidiennes contre les défis liés à l’accès à l’eau, avec Serreh comme figure centrale de résilience et d’espoir.
Cette résidence a permis aux trois artistes de partager leurs perspectives, leurs techniques et leurs visions cinématographiques.
Ces trois œuvres illustrent la maturité croissante du cinéma gambien contemporain. Elles témoignent d’une volonté de raconter des histoires locales avec une dimension universelle, utilisant le cinéma comme un outil de compréhension, de critique et de transformation sociale.
Un documentaire de Martha E. Manga qui suit le rêve d’une mère gambienne cherchant à intégrer un programme culinaire prestigieux. Un récit touchant sur les aspirations et la détermination.
Réalisé par Babou Ceesay, ce film marque un moment historique dans le cinéma gambien, démontrant une audace narrative et technique unique. Un court métrage qui marque l’élargissement des horizons créatifs du cinéma gambien, démontrant une audace narrative et technique.
Un court métrage qui explore les défis systémiques de l’éducation, suivant l’histoire d’un jeune contraint à la délinquance pour financer ses études.
Ci-dessous des photos de la seconde édition. 👇