Lorraine Turci, artiste photographe indépendante depuis 2019, sera en résidence artistique à l’Alliance Française de Banjul d’avril à mai 2024. Durant cette période, elle se consacre à la préparation d’une exposition photographique immersive sur la jeunesse gambienne. Son travail minutieux explore les relations complexes entre l’être humain et son environnement, mettant en lumière les interactions entre territoire, identité, transmission, nature, évolution et préservation.
Lauréate de la grande commande de la Bibliothèque Nationale de France et du Ministère de la Culture Radioscopie de la France en 2022, Lorraine a reçu le soutien de diverses bourses, notamment Fluxus Art Projects de l’Institut Français, et de la Fondation Franco-Japonaise Sasakawa. Son parcours artistique inclut des résidences au Japon, à l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles et au Groenland, témoignant ainsi de la diversité de ses expériences.
Dans le cadre de cette résidence, Lorraine Turci établit des partenariats avec des institutions telles que l’UNICEF et envisage des collaborations avec des médias renommés. Parallèlement, elle planifie des ateliers professionnels en anglais, créant ainsi une opportunité d’échange enrichissante avec la communauté locale.
Et pour finir en beauté, ce programme est enrichi d’une autre expérience artistique, puisque nous recevons l’exposition International Women Photographers Award ( IWPA). Cette exposition met en lumière le travail de Lorraine Turci, ainsi que celui de deux autres lauréates, Lee-Ann Olwage (Afrique du Sud) et Luisa Dörr (Brésil). Cette exposition, disponible dans le cadre d’une tournée dans les Alliances, est réalisée en partenariat avec l’Alliance de Ziguinchor et IWPA. Cette initiative conjointe souligne notre engagement continu en faveur de la visibilité des femmes photographes. En effet, nous sommes fiers de contribuer à la mise en avant de talents féminins et d’offrir une perspective diversifiée et enrichissante à notre public.
Anticipez une exploration captivante des jeunesses gambiennes à travers le regard unique de Lorraine Turci. Nous vous invitons à suivre son parcours et les développements de cette résidence sur notre site internet et nos réseaux sociaux !
Hokkaido is a vast territory of wintry beauty, with forests, volcanoes, lakes and rugged coastlines. Before Japanese colonisation, it was inhabited by the Ainu people. After a century and a half of assimilation and discrimination, the situation in the country has gradually evolved. What is the identity of this ethnic group today?
Ainu culture doesn’t only belong in museums: thanks to the resilience of its people, it’s alive and kicking and forms a strong identity. Minority cultures are the vector of a diversity that brings a certain form of richness to our globalised planet.
This reflects on what it means to be an Ainu today, between demands and compromises, in the practices of everyday life; it addresses the sense of belonging within a community in the dual process of preserving and reinventing its own culture, following prolonged assimilation that has all but erased its society and language. Stories of activists, artists… and above all, ordinary people. After all, aren’t we all in search of our own identity?
Hokkaido is a vast territory of wintry beauty, with forests, volcanoes, lakes and rugged coastlines. Before Japanese colonisation, it was inhabited by the Ainu people. After a century and a half of assimilation and discrimination, the situation in the country has gradually evolved. What is the identity of this ethnic group today?
Ainu culture doesn’t only belong in museums: thanks to the resilience of its people, it’s alive and kicking and forms a strong identity. Minority cultures are the vector of a diversity that brings a certain form of richness to our globalised planet.
This reflects on what it means to be an Ainu today, between demands and compromises, in the practices of everyday life; it addresses the sense of belonging within a community in the dual process of preserving and reinventing its own culture, following prolonged assimilation that has all but erased its society and language. Stories of activists, artists… and above all, ordinary people. After all, aren’t we all in search of our own identity?
Vague de 12 metres de haut frappant la proue d’un navire dans le passage de Drake, passage qui spare l’extrmit sud de l’Amrique du Sud et l’Antarctique, entre le cap Horn en Terre de Feu et les les Shetland du Sud en Antarctique. C’est une des zones maritimes qui connat les pires conditions mtorologiques au monde, passant par quarantimes rugissants, les cinquantimes hurlants et les soixantimes mugissants. Ocean austral Antarctique 2014.
12 meter high wave hitting the bow of a ship in Drake Passage, which separates the southern tip of South America from Antarctica, between Cape Horn in Tierra del Fuego and the Shetland Islands of South Antarctica. It is one of the maritime areas that experiences the worst weather in the world, roaring forties, screaming fiftieths and blaring sixties. Southern Ocean Antarctica 2014.
Portrait de Lorraine Turci, photographe.
Portrait of Lorraine Turci, photographer.